Ecomobilité, énergies vertes et empreinte carbone : Laurence Esquedin et Frédéric Schall d’EEC ENGIE au rendez-vous matinal

EN BREF

  • Ecomobilité : promotion de modes de transport durables tels que la marche, le vélo et les transports en commun.
  • Engagement d’EEC ENGIE dans la réduction de l’empreinte carbone via des solutions innovantes.
  • Partenariat signé en 2016 pour valoriser les actions d’.
  • Objectif du gouvernement : atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030.
  • Initiatives mises en place par EEC pour compenser les émissions de CO₂.
  • Importance de la digitalisation et du télétravail dans la stratégie d’EEC.

Ecomobilité et énergies vertes : Un engagement fort pour un avenir durable

Dans le cadre de la lutte contre les effets du réchauffement climatique, la promotion des modes de déplacement écologiques tels que la marche, le vélo et les transports en commun est essentielle. EEC ENGIE, en Nouvelle-Calédonie, s’illustre par son engagement à réduire son empreinte carbone. Laurence Esquedin, responsable de la communication, et Frédéric Schall, responsable des services généraux, ont détaillé lors d’une récente matinale les initiatives de l’entreprise, qui a signé une charte d’écomobilité depuis 2016.

Actuellement, 80% de l’électricité en Nouvelle-Calédonie provient de sources carbonées, et l’objectif est d’atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. EEC a déjà réalisé son bilan carbone à deux reprises, en 2008 et 2018, démontrant une volonté claire de maîtriser sa consommation énergétique et de compenser ses émissions via des actions concrètes comme la replantation d’arbres.

Parmi leurs démarches, l’entreprise facilite l’accès aux transports en commun, promeut le télétravail et met en place des services digitalisés pour minimiser les déplacements physiques de ses clients. Ces efforts témoignent de leur ambition d’être un acteur clé dans la transition énergétique et de contribuer à un futur plus responsable en matière d’environnement.

Dans un monde où les enjeux climatiques deviennent de plus en plus pressants, la question de l’écomobilité s’affirme comme une priorité tant pour les individus que pour les entreprises. Laurence Esquedin et Frédéric Schall d’EEC ENGIE se sont récemment exprimés lors d’un rendez-vous matinal sur l’importance d’adopter des modes de déplacement plus durables et de réduire notre empreinte carbone. Cet article aborde leurs réflexions sur les initiatives d’écomobilité, les énergies vertes et les actions concrètes mises en place par leur entreprise pour répondre aux défis environnementaux actuels.

Le besoin urgent d’une transformation des modes de transport

À une époque où le réchauffement climatique est une réalité incontestable, il devient impératif de repenser notre façon de nous déplacer. Les alternatives à la voiture individuelle, telles que la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage, doivent être privilégiées dans notre quotidien. Pw avant d’étendre les discussions à l’échelon professionnel, il est essentiel de comprendre que chaque geste compte et que même des changements de comportement mineurs peuvent avoir un impact significatif sur nos émissions de CO₂.

Les initiatives d’EEC ENGIE pour l’écomobilité

En Nouvelle-Calédonie, des entreprises comme EEC ENGIE s’illustrent par leurs engagements en matière d’écomobilité. La signature en 2016 de la charte écomobilité par la société témoigne de sa volonté de s’impliquer dans une dynamique de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Selon Laurence Esquedin, ces engagements ne sont pas récents ; « nous étions déjà dans une démarche d’écomobilité avec la réalisation du bilan carbone ou encore l’acquisition d’un véhicule électrique. »

La société s’applique à démontrer que la transition vers une mobilité plus durable est envisageable et nécessaire. Grâce à des mesures telles que la mise en place de bornes de paiement en ligne, la digitalisation des services et l’amélioration de l’accès aux transports en commun, EEC ENGIE vise à réduire les déplacements inutiles tout en rendant l’expérience de mobilité plus fluide et écologique pour ses clients.

Une énergie en transition : vers plus de renouvelables

Actuellement, l’électricité en Nouvelle-Calédonie provient à 80 % d’énergies carbonées et à 20 % de sources renouvelables. Dans ce contexte, le gouvernement a fixé un objectif ambitieux : atteindre 70 % d’énergies renouvelables d’ici 2030. EEC ENGIE s’inscrit pleinement dans cette transition énergétique. Frédéric Schall, responsable des services généraux à EEC, précise : « Nous sommes considérés comme site positif, c’est-à-dire que l’on produit plus que l’on consomme. » Cette déclaration souligne l’engagement de l’entreprise à non seulement produire des énergies plus vertes, mais aussi à consommer de manière réfléchie et responsable.

Évaluation de l’empreinte carbone : un exercice crucial

La prise de conscience relative à la question de l’empreinte carbone est de plus en plus reconnue. EEC ENGIE est la première entreprise en Nouvelle-Calédonie à avoir réalisé son bilan carbone, avec une première évaluation effectuée en 2008 et une seconde en 2018. Cette initiative illustre une démarche proactive visant à mesurer et comprendre l’impact environnemental de ses activités. Selon Frédéric Schall, « aujourd’hui, les chiffres sont bons car nous arrivons à maîtriser notre consommation. » Cette affirmation est un signe encourageant pour la suite, mais elle doit également être suivie d’une période d’examen constant et de mise à jour des pratiques.

Des mesures concrètes pour compenser les émissions

Pour EEC ENGIE, réduire les émissions de gaz à effet de serre ne se limite pas à contrôler la consommation d’énergie. Pour le parc automobile de l’entreprise, elle a mis en place un système de compensation des émissions de CO₂ par la replantation d’arbres. Cette initiative écologiquement bénéfique démontre l’importance d’allier progrès économique et protection de l’environnement. En replantant les arbres, l’entreprise contribue à restaurer des écosystèmes qui compensent les émissions de gaz à effet de serre produites par ses opérations.

Le télétravail et la digitalisation : des outils au service de l’écomobilité

Parmi les autres initiatives visant à réduire l’empreinte carbone, EEC ENGIE a intégré le télétravail dans ses pratiques organisationnelles. Prévu avec des objectifs clairs dès 2024, ce mode de travail permet non seulement d’optimiser les déplacements liés aux trajets domicile-travail, mais aussi de favoriser une meilleure qualité de vie pour les employés. De plus, les efforts de digitalisation des services facilitent les interactions, réduisant ainsi la nécessité de déplacements physiques pour les clients comme pour les employés.

Perspectives d’avenir : vers une économie verte et durable

Alors que l’écomobilité et les énergies renouvelables deviennent de plus en plus essentielles, la trajectoire affichée par EEC ENGIE s’inscrit dans une vision d’avenir où l’économie verte prend le pas sur les anciens modèles énergétiques. La société s’efforce de devenir un modèle de référence en matière de leadership en durabilité, incitant à la fois les citoyens et les autres entreprises à adopter des comportements responsables face au changement climatique.

En participant à la matinale du 16 septembre, Laurence Esquedin et Frédéric Schall ont pu partager leurs expériences et inspire d’autres à suivre leur exemple. Le besoin de collaboration entre le secteur public et privé est également mis en avant, car chaque acteur a un rôle à jouer dans cette transition vers un avenir durable.

Ressources et références

Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet de l’écomobilité et des engagements d’EEC ENGIE, plusieurs ressources sont à disposition. Lorsque vous explorez ces questions, n’hésitez pas à consulter des publications spécifiques qui traitent de l’impact de la décarbonation dans le secteur de l’énergie, ainsi que les initiatives prises par des entreprises comme ENGIE pour accompagner la transition énergétique au niveau européen. Vous pouvez suivre ce lien pour une publication sur le sujet : Décarbonation secteur énergie.

Pour les actualités concernant l’engagement d’ENGIE auprès de la Commission Européenne, consultez cet article : ENGIE s’engage.

Enfin, pour découvrir d’autres points de vue sur l’écomobilité, vous pouvez lire cet article qui résume l’intervention de Laurence Esquedin et Frédéric Schall lors de leur passage à la matinale : Écomobilité et énergies renouvelables.

Discuter de ces initiatives ouvre la voie à d’autres entreprises pour engager la conversation sur l’écomobilité et les énergies vertes comme leviers essentiels pour un avenir plus responsable et durable.

Impacts sociétaux et environnementaux

Évaluer et comprendre les impacts sociétaux et environnementaux de la transition énergétique ainsi que de l’écomobilité est crucial. Les comportements des consommateurs et des entreprises doivent évoluer pour que les objectifs de durabilité soient atteints. Par ailleurs, l’éducation et la sensibilisation sur ces enjeux sont essentielles pour accompagner cette transition.

Engagement communautaire pour un avenir commun

La responsabilité sociale des entreprises (RSE) prend également tout son sens dans ce cadre. En s’engageant à collaborer avec les communautés locales, EEC ENGIE renforce ses initiatives d’écomobilité et de durabilité. Des programmes de sensibilisation, des formations et des partenariats avec des acteurs locaux sont autant d’actions entreprises pour établir un cadre propice à une véritable évolutivité des modes de déplacement écologiques.

Conclusion partielle sur l’écomobilité et l’avenir énergétique

Le chemin vers une société décarbonée et durable nécessite plus que la volonté d’un petit nombre ; il doit s’étendre à l’ensemble des acteurs économiques et sociétaux. EEC ENGIE, par ses actions et engagements, prouve qu’il est possible d’allier performance économique et conservation de l’environnement. Cela témoigne d’un avenir où l’écomobilité, les énergies renouvelables et la réduction de l’empreinte carbone doivent devenir des priorités partagées.

Témoignages sur l’écomobilité et les énergies vertes

La question de l’écomobilité est devenue essentielle dans notre société, nécessitant une transition vers des modes de déplacement plus durables. Favoriser la marche, le vélo, les transports en commun ou encore le covoiturage représente une réponse nécessaire pour réduire les émissions de CO₂ liées aux transports.

En Nouvelle-Calédonie, des entreprises prennent des initiatives significatives, telles que la société EEC Engie, qui a signé en 2016 une charte écomobilité. Laurence Esquedin, responsable de la communication chez EEC, partage que cette démarche s’inscrit dans un effort de longue date : « À l’époque, il y a plus de vingt ans, nous étions déjà engagés dans l’écomobilité avec la réalisation du bilan carbone et l’acquisition d’un véhicule électrique. »

Le rôle d’EEC dans la transition énergétique est central, surtout alors que l’électricité de Nouvelle-Calédonie provient à 80% de sources carbonées. Frédéric Schall, responsable des services généraux, souligne : « Nous avons pour objectif d’atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. Nous nous considérons comme un site positif, car nous produisons plus que nous consommons. »

« Nous arrivons à maîtriser notre consommation »

Frédéric Schall

EEC se distingue en étant la première entreprise en Calédonie à réaliser un bilan carbone, comptabilisant les émissions de gaz à effet de serre à deux reprises, entre 2008 et 2018. Selon Schall, « Aujourd’hui, les chiffres sont bons car nous avons réussi à mieux gérer notre consommation. Pour notre parc automobile, par exemple, 100% de notre production de CO₂ est compensée par la replantation d’arbres. »

Parmi les nombreuses initiatives d’EEC pour diminuer son empreinte carbone figurent des solutions telles que les bornes de paiement en ligne, qui limitent les déplacements physiques des clients, ainsi que la digitalisation des services et un accès facilité aux transports en commun. L’entreprise envisage également d’intégrer le télétravail avec des objectifs adaptés dès 2024.

Ces efforts transforment non seulement la manière dont les entreprises opèrent, mais contribuent également à une meilleure économie durable et un avenir plus responsable pour la planète.

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